J'ai été fascinée par la personnalité de ton "grand maître dunkerquois", tenue en haleine par ses faits et gestes, surprise par la fin que j'imaginais différente. Bref, sur le qui-vive en permanence. Et concernée: ma grand-mère paternelle s'appelait Berthe LeroOy. ;) Bravo pour ce bon polar qui m'a plu encore davantage que le précédent!